logo
logo

Notre soutien aux associations

Nos actions

Sambhali Trust

Rajasthan - Inde

Fondée en janvier 2007, cette association a pour but d’autonomiser les femmes et les jeunes filles dalits ( caste des intouchables ) au Rajasthan, en Inde, par le biais de programmes éducatifs, de formations professionnelles, et de services sociaux.

Sambhali Trust a été fondée par Govind Singh Rathore, après que des femmes de sa famille aient subi des violences et des discriminations. 

Cette association a donc été créée pour permettre aux femmes du Rajasthan d’acquérir une certaine autonomie financière vis à vis de leurs familles, et de sortir de la pauvreté.

Cela a commencé par l’installation d’une plateforme pour enseigner gratuitement l’hindi, la langue parlée en Inde du Nord, ainsi que les bases en anglais, en mathématiques, et en couture, aux femmes en difficulté.

Puis l’association a créé des centres d’autonomisation à Jodhpur et Setrawa .
L’ objectif des formations proposées dans ces centres est de permettre aux femmes et jeunes filles d’acquérir les compétences et les connaissances nécessaires pour trouver un emploi ou en créer un.

Le nom ” Sambhali ” signifie : ” L’ ascension des femmes opprimées “.

Sambhali Trust recense maintenant 25 projets :
● 7 centres d’autonomisation,
● 2 centres de couture,
● Différents projets éducatifs et de financements de bourses scolaires,
● Un projet de sensibilisation contre les attouchements sexuels, ” Not Bad Touch “,
● Un service d’hébergement pour femmes,
● Un groupe d’entraide
● Et un service d’assistance téléphonique gratuit.

10 professeurs d’hindi et de couture, dont la plupart ont été diplômés grâce au programme Sambhali, sont actuellement employés par l’association.
Et il y a entre 20 et 30 autres professeurs travaillant comme volontaires et venant du monde entier. La plupart enseigne l’anglais et les mathématiques, mais aussi la mode ou le design …

Sambhali Trust est financée en grande partie par des dons et des subventions étrangères, dont celle d’Amalkia.

Partage Tanzanie

Buyango - Tanzanie

Pour le continent africain, Amalkia est en lien avec Partage Tanzania. Nous sommes heureux de vous présenter deux jeunes filles, Johanitha et Alicia qui se sont associées en 2020, à leur sortie de l’école ménagère de Partage, pour se mettre à leur compte dans leur village, Buyango.

Dans cette région de Tanzanie, la clientèle ne manque pas : tricot de pull-overs et uniformes pour les écoles, couture de robes pour les fêtes et les mariages… Devant cette masse de travail, Johanitha et Alicia, ont dû prendre deux jeunes apprenties qu’elles forment un jour sur deux

Puis il a été nécessaire de trouver un peu de capital pour constituer un fond de commerce. Comme un stock de laine, et du tissu. Mais aussi d’acheter une surjeteuse pour les finitions.

À ce jour, Amalkia a financé le projet de ces jeunes filles. La moitié leur a été déjà versée. Les fonds restants leur sont également destinés, mais seront donnés qu’après évaluation de ce premier investissement.

Elles ont en tête également d’acquérir une machine à broder pour les plastrons des robes en batik, qui sont très en vogue dans ces localités d’Afrique.

Ce petit atelier fonctionne bien, il est même appelé à s’agrandir grâce à l’assiduité et à la détermination de nos deux jeunes couturières. Les petits matins d’Alicia et de Johanitha s’illuminent, leur offrant une perspective dans leur vie mais aussi de l’autonomie.

Le vicariat d'Iquitos

Iquitos - Pérou

Administré par le père Miguel Fuertes Prieto, prêtre augustinien d’origine espagnol qui vit en Amazonie péruvienne, et plus précisément dans la région de Loreto depuis octobre 1983. Ses 14 premières années sont dans la région du fleuve Marañon et le reste dans la ville d’Iquitos, dans trois paroisses différentes.

Il est actuellement curé de l’église cathédrale du vicariat apostolique d’Iquitos et, en plus de la paroisse, il est responsable de la station de radio “La Voz de la Selva”, propriété de l’Église, qui fêtera son jubilé d’or l’année prochaine.

 

Miguel assure également des finances du Vicariat et de certains projets de développement qu’il mène avec l’aide de diverses institutions et partenaires. Il nous rapporte qu’en ce moment, ils travaillent sur un projet visant à construire 7000 récepteurs radio solaires pour 7000 familles, afin que les enfants puissent suivre l’année scolaire à distance, car ils vivent dans des endroits où il n’y a pas d’électricité.

De novembre 2019 à juillet de cette année, le père est en charge du Vicariat, depuis le décès de l’évêque jusqu’à la nomination de l’actuel, afin que, malgré la pandémie, ils puissent essayer de poursuivre le travail social que l’Église a entrepris. En particulier celui réalisé par la Commission Vicariale Justice et Paix – Droits de l’Homme, très attentive aux besoins des personnes, elle est toujours préoccupée par la violation des droits personnels et sociaux des personnes les plus défavorisées, aussi bien le long du fleuve qu’en ville.

Pendant la première vague de la pandémie, l’Église d’Iquitos a été pionnière au Pérou dans la recherche de réponses à la pénurie d’oxygène dans la ville et dans le pays, avec une collecte et une gestion qui ont permis d’obtenir 4 usines d’oxygène, ainsi que des concentrateurs, des médicaments et des équipements.

Nos actions - Notre soutien aux associations - Association Amalkia